Charles Lamontagne Entraîneur Privé Montréal

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Nouvelle recherche scientifique: Comment le vin rouge et le thé vert peuvent faire monter votre testostérone

Le vin rouge et le thé vert pourraient améliorer votre niveau d’énergie, votre humeur, votre libido et votre masse musculaire en augmentant la quantité de testostérone, l'hormone que les athlètes utilisent pour améliorer leurs performances, selon des chercheurs de l'université de Kingston de Londres.

Voici comment ça fonctionne : le vin rouge et le thé vert possèdent des molécules anti-inflammatoires qui bloquent l’excrétion de votre testostérone dans votre urine. La résultante, votre corps préserve davantage sa testostérone et ses niveaux demeurent plus hauts.   

Non seulement la conclusion de cette récente étude peut-elle être bénéfique pour la population en général, elle peut également l’être pour les athlètes qui se dopent aux stéroïdes. En fait, les tests anti dopage sont des tests d’urines qui vérifient la quantité de testostérone excrétée dans l’urine. Quand ce niveau est trop haut, on sait qu’un athlète a triché. Maintenant, en buvant du vin rouge ou du thé vert, ces concentrations dans son urine pourraient être beaucoup plus faibles.

L'effet du vin rouge et du thé vert sur un individu pourrait varier en raison de facteurs tels que le poids, la forme, la santé et l'alimentation, ce qui rend difficile d'estimer la quantité nécessaire pour améliorer la forme physique d’un individu, selon le professeur Naughton.

L'équipe a également constaté que les résultats étaient les mêmes pour les extraits de vin rouge sous forme de supplément.

Cette recherche a été menée en laboratoire et il reste maintenant à la refaire chez des humains afin de vérifier sa conclusion. C’est prometteur !

Je reviendrai sur le vin rouge dans un prochain article mais je peux tout suite vous recommander de boire 3 verres de vin rouge par semaine.

Référence: Carl Jenkinson, Andrea Petroczi, Declan P Naughton. Red wine and component flavonoids inhibit UGT2B17 in vitro. Nutrition Journal, 2012; 11 (1): 67 DOI: 10.1186/1475-2891-11-67